Comment repérer les premiers signes de mal – être au travail ?
Dans un monde professionnel qui va vite, où les équipes jonglent entre objectifs, réunions et deadlines, les signaux faibles de mal-être peuvent facilement passer inaperçus.
Et c’est normal : les managers ne sont ni psychologues, ni super-héros.
Mais ils sont souvent les premiers à remarquer quand quelque chose change. Et c’est là que tout commence.
Pourquoi parler de signaux faibles ?
Parce qu’en santé mentale, le plus tôt on agit, le plus simple est la prise en charge.
Un mal-être ignoré peut s’aggraver, impacter le travail, les relations, et mener à des situations de crise évitables.
Repérer ne veut pas dire diagnostiquer.
Repérer, c’est simplement oser ouvrir une porte.
Voici quelques signaux discrets mais importants :
1. Un repli progressif
Un collaborateur qui s’isole, qui parle moins… c’est peut-être juste une fatigue passagère. Mais si cela dure, ça mérite une attention.
2. Des tensions ou de l’agacement inhabituel
Un ton plus sec que d’habitude ? Des échanges tendus ? Là encore, ce n’est pas forcément grave, mais c’est un indicateur.
3. Une baisse de concentration ou de performance
Quand un collaborateur habituellement rigoureux devient distrait ou désorganisé, ce n’est pas un jugement, c’est un signal.
4. Un changement de rythme ou de comportement
Retards, fatigue, baisse d’énergie… ces signes n’ont pas toujours une cause professionnelle, mais ils méritent une écoute bienveillante.
5. Des phrases en creux
“Je n’en peux plus” / “Je ne sers à rien” / “C’est trop pour moi”
Même si elles sont dites sur le ton de la blague, elles peuvent refléter une vraie détresse.
Quelques conseils pour un manager
Ils existent de nombreux moyens pour lutter contre l’anorexie mentale selon sa gravité et notre sensibilité. En voici quelques-un :
Chez UpCare,
On forme des managers confiants, humains et mieux armés pour créer un environnement de travail plus sain.
Parce que prendre soin de la santé mentale de ses équipes, c’est aussi prendre soin de la performance de l’entreprise.
UpCare – 20/05/2025